Giochi dell'Oca e di percorso
(by Luigi Ciompi & Adrian Seville)
Avanti Home page Indietro

Torna alla ricerca giochi
(back to game search)
Règle du Jeu de l'Affaire Dreyfus et de la Véritè 
immagine
Versione stampabile      Invia una segnalazione
image

image

image

image

image

image

image

image

image

image

image

image

image

image

image

primo autore: Non indicato 
secondo autore: Anonimo 
anno: 1898 
luogo: Francia-Parigi 
periodo: XIX secolo (4°/4) 
percorso: Percorso di 63 caselle numerate 
materiale: carta (inserto di giornale) (paper) (papier) 
dimensioni: 480X648 (400X565) 
stampa: Stampa tipografica a colori 
luogo acquisto: Francia-Calais 
data acquisto: 05-11-2009
dimensioni confezione:  
numero caselle: 63 
categoria: Personaggi ed eventi storici 
tipo di gioco: Gioco oca variante  
editore: "L'Aurore" 
stampatore: Charaire E., Sceaux 
proprietario: Collezione L. Ciompi 
autore delle foto: L. Ciompi 
numero di catalogo: 558 
descrizione: Gioco di 63 caselle numerate, spirale, antiorario, centripeto, relativo all' "Affaire Dreyfus" offerto dal giornale "L'Aurore". Dalla prima casella (Les fuites), alla casella 63 (La verité toute nue) il percorso ripercorre le peripezie della storia. Le oche sono rimpiazzate dalle "Vérités": non ci si può fermare su queste caselle. Le caselle 24 e 21 sono caricature del Presidente della Corte e del Procuratore Generale. Nell'angolo sinistro in basso, lo Stato Maggiore si gioca la legge ai dadi. Il Capitano Alfred Dreyfus è condannato alla deportazione a vita nel dicembre 1894. L'"affaire" nacque dalla scoperta e dall'amministrazione della prova d'innocenza dell'accusato. Per molti anni questa storia dividerà il mondo politico francese, con da una parte la Chiesa, l'esercito e le leghe nazionaliste contro Dreyfus e dall'altra i repubblicani, i radicali, i socialisti e gli intellettuali a favore di Dreyfus. Alfred Dreyfus verrà graziato nel 1899, ma verrà riabilitato soltanto il 12 luglio del 1906.
REGOLE: al centro.
CASELLE: con didascalie.
Cas. 1): Les fuites; Cas. 2): Les télégrammes; Cas. 3): Manuel de tir; Cas. 4): M. Scheurer Kestner; Cas. 5): La Vérité; Cas. 6): Les Palissades du Pont des Invalides; Cas. 7): Zola; Cas. 8): M. me de Poule-en-Scie; Cas. 9): La Vérité; Cas. 10): Le geolier du Cherché-midi; Cas. 11): Leblois; Cas. 12): Le Sabre de leurs pères; Cas. 13): Bellegorge; Cas. 14): La Vérité; Cas. 15): Le petit bleu; Cas. 16): L'archiviste Gribier-Vilain; Cas. 17): Les experts; Cas. 18): La Vérité; Cas. 19): Ministère de la guerre; Cas. 20): Le depot des conclusions; Cas. 21): Le Proc. eur General Ventre-Cassé; Cas. 22): Jaures; Cas. 23): La Vérité; Cas. 24): Le President Pot de Chambre; Cas. 25): Les droits de l'homme; Cas. 26): Blanche et Speranza; Cas. 27): La Vérité; Cas. 28): Le Hulan; Cas. 29): Bordereau; Cas. 30): Verpillon l'anthropométrique; Cas. 31): Le mont Valerien; Cas. 32): La Vérité; Cas. 33): M. Labori; Cas. 34): L'Aurore; Cas. 35): Place Vendome; Cas. 36): La Vérité; Cas. 37): Jujube; Cas. 38): L'ile du diable; Cas. 39): Les jurés; Cas. 40): La bataille Picquart. Esther vas-y; Cas. 41): La Vérité; Cas. 42): Les bureaux de l'Etat Major; Cas. 43): Le Tableau Noir; Cas. 44): M.elle des Meninges; Cas. 45): La Vérité; Cas. 46): Le Gerant de l'Aurore; Cas. 47): Le Radical; Cas. 48): Le colonel Picquart; Cas. 49): Le tribunal de Versailles; Cas. 50): La Vérité; Cas. 51): Le père Tulus; Cas. 52): Prison du Cherche-Midi; Cas. 53): M. elle Lais. Esther vas-y; Cas. 54): La Vérité; Cas. 55): G. Clemenceau; Cas. 56): La Rue de Douai; Cas. 57): Parti du Tram; Cas. 58): Mort de la dame voilée; Cas. 59): La Vérité; Cas. 60): Zola en automobile; Cas. 61): De Vascagat; Cas. 62): M.Demange; Cas. 63): La Vérité.

REFERENZA 1
(D'Allemagne, pag. 216): "Jeu de l'Affaire Dreyfus et de la Verité. Prime gratuite du journal L'Aurore. Imp. Charaire à Sceaux (1898). Litho en couleurs. 40x56,5. Jeu "dreyfusard" très répandu, et représentant des scènes ou des personnages de cette célèbre affaire. Au n° 63: La Vérité sortant du puits."

REFERENZA 2
"Jeu de l'Affaire Dreyfus et de la Verité. Jeu de l'oie offert en prime à ses lecteurs par L'Aurore. La case 63 est "la verité toute nue": le joueur qui l'atteint a gagné. Les cases 24 et 21 caricaturent le Président à la Cour et le Procureur général. Dans le coin gauche, en bas, l'Etat -major joue la Loi aux dés. Impression en couleurs. 1898. Musés du Jouet."
(Catalogo Mostra: "Jeu, jouet et politique", Ville de Poissy, Musée du Jouet 1982).

REFERENZA 3
Questo è un gioco pubblicato nel 1898 dalla rivista francese "L'Aurore" per sottolineare le ingiustizie dell'Affaire Dreyfus. Si tratta di una variante del classico Gioco dell'Oca con la "Verità" che rimpiazza le oche. L'obiettivo è arrivare alla casella 63 con la "cruda verità". Le caselle 24 e 21 sono caricature del Presidente del Tribunale che aveva processato Dreyfus e del Procuratore Generale. La casella 52 mostra la prigione militare di Cherche-Midi a Parigi dove Dreyfus fu imprigionato nel 1894 con l'accusa di alto tradimento mentre la 31 mostra la prigione di Saint-Valérien dove finì invece Hubert-Joseph Henry un Tenente Colonnello dell'intelligence militare, quando nel 1898 fu accusato di aver falsificato le prove contro Dreyfus. Questi si tagliò la gola con un rasoio portandosi il segreto nella tomba. Alla fine il vero colpevole si rivelò essere il Maggiore Ferdinand Esterhazy il quale aveva dichiarato il falso sostenendo che una misteriosa donna con il velo gli aveva consegnato la fotografia di un documento che comprovava la colpevolezza di Dreyfus. La casella numero 58 mostra la morte proprio della donna con il velo, il personaggio inventato da Esterhazy. Lo stile fumettistico dei disegni rende la satira ancora più ricca: la casella 42 per esempio rappresenta gli uffici dei Generali Militari e mostra due ufficiali che discutono animatamente sulla questione lanciando scartoffie da ogni parte.
(A. Seville)

REFERENZA 4
Le temps des journaux
À partir de la fin des années 1860 et surtout après la chute du Second Empire, la presse invente de nouvelles manières de communiquer avec son lectorat et de travailler l’opinion publique. Offrir un jeu de l’oie à ses lecteurs devient alors une pratique courante, qui se perpétue jusqu’après la Seconde guerre mondiale. Cette appropriation permet la production de dessins originaux, bien différents des planches d’Épinal diffusées jusqu’alors.
Les premiers témoignages remontent tous à l’année 1867: c’est à l’occasion de l’exposition universelle tenue à Paris que "Paris-Magazine" et "La Vie parisienne" offrent à leurs lecteurs un jeu de l’oie consacré à l’événement (Arch. N°2592.). C’est aussi cette année-là que le "Journal des enfants" insère dans ses pages un "Jeu du grand Buffon" directement inspiré des jeux éducatifs du début du XIXe siècle.
Dès la chute du Second Empire, la presse satirique s’empare du jeu de l’oie, où elle met en scène le monde politique de son époque. Les caricaturistes les plus célèbres se prêtent au jeu, comme Georges Lafosse (1843-1880), connu pour ses "trombines", portraits aux têtes disproportionnées. Le "Charivari" (1872, Arch. N°848.), "Le Sifflet" (1874, Arch. N°2772) ou la feuille monarchiste "Le Triboulet" (1881, Arch. N°2688) montrent la voie, bientôt suivie par la grande presse quotidienne qui donne au procédé une audience bien plus grande. Les jeux inspirés des grandes affaires de l’époque font l’objet de suppléments offerts aux lecteurs, accompagnés de légendes très explicites: l’affaire Boulanger (Arch. N°65) dans "Le Figaro" (1889), l’alliance franco-russe (Arch. N°71) dans "Le Petit Journal" (1892), ou l’affaire Dreyfus (Arch. N°558) dans "L’Aurore" (1898).
Ces usages satiriques se poursuivent pendant la Première guerre mondiale, puis dans l’entre-deuxguerres, à un moment où la place du dessinateur de presse commence à s’institutionnaliser. En 1917, rendu infirme par les combats, Gus Bofa dessine un "Jeu de la tranchée" (Arch. N°2021) pour les poilus lecteurs de "La Baïonnette" dont il est un collaborateur régulier. En 1934, Lucien Boucher dessine pour "La Lessive" un "Jeu de l’escargot ou de la justice" qui pointe les lenteurs de la justice dans l’affaire Stavisky. L’habitude ne se perd pas après la Seconde guerre mondiale, comme le montre le jeu paru dans "L’Humanité" en 1949, hostile au général de Gaulle et au plan Marshall.
À côté de ces usages politiques, beaucoup de titres imaginent des jeux thématiques, proches de leur ligne éditoriale: "Comoedia" offre en 1913 un "Jeu du Tutu" (Arch. N°1113.) illustré de portraits d’artistes et de danseurs célèbres de l’époque, Elle propose en 1949 un jeu de l’oie consacré au cinéma, où le dessin est remplacé – fait nouveau – par la photographie. La presse féminine n’est pas en reste, avec des jeux inspirés du quotidien d’une femme moderne ou de la vie d’un couple, comme dans "Marie-Claire" (1938, Arch. N°33) ou "Marie-France" (1946).Ces jeux sont offerts aux lecteurs ou vendus moyennant un petit supplément, souvent à l’occasion des fêtes de Noël. En décembre 1928, "Le Dimanche-Illustré" propose le "Jeu du pingouin" (Arch. N°37) d’Alain Saint-Ogan, le père de Zig et Puce. Le "Jeu de la Perme" (Arch. N°1668) dessiné par Raoul Guérin accompagne le numéro du 29 décembre 1939 du "Journal". En décembre 1948, Raymond Peynet dessine pour "Marie-France" un "Jeu des Bergers et des Mages", au moment où l’artiste Jean-Albert Carlotti crée pour "Arts" un "Jeu de l’oie pour jouer la nuit de Noël".
(Emmanuelle Chapron, Pierre-Marie Delpu in: "Jeu de l'oie: Histoire et métamorphoses")

REFERENZA 5
Règle du jeu de l’Affaire Dreyfus et de la Vérité, Paris, imprimerie Charaire, 1899.
Ce jeu de l’oie édité par l’imprimerie Charaire, l’un des principaux établissements typographiques parisiens de la Belle Époque, prend place au terme de l’Affaire Dreyfus. Cette affaire d’espionnage présumé impliquant un officier alsacien juif, Alfred Dreyfus, est devenue l’une des crises politiques majeures de la IIIe République, prenant la suite d’une série de scandales tout au long des années 1880 et 1890. Amorcée en 1894, stimulée par l’implication décisive de la presse d’opinion, elle a fortement divisé la société française entre partisans et adversaires d’Alfred Dreyfus et a vu s’affirmer les engagements contradictoires de lettrés et de savants désormais qualifiés d’intellectuels. C’est à l’implication de l’un d’entre eux, Jean Jaurès, que l’on doit d’avoir innocenté le capitaine Dreyfus à travers la publication d’une série de preuves en septembre 1898 dans le journal socialiste La Petite République, dont il était le directeur. L’impact médiatique et politique de cette publication explique l’ouverture d’un procès en révision en 1899, à Rennes, qui confirme l’innocence de Dreyfus.
L’Affaire est ici présentée à la fois dans sa chronologie et sa symbolique. Le plateau de jeu est flanqué d’une série d’allégories évoquant la vérité et la justice, valeurs sous-tendues par cette affaire politique et médiatique et dont l’aboutissement a montré le triomphe. L’iconographie utilisée met en valeur la place du système judiciaire, de la loi, le rôle de la presse dans le déroulement d’une affaire fortement déterminée par le rejeu des tensions franco-allemandes au milieu des années 1890 (référence au Hulan, case n°28, figure littéraire désignant les Allemands, empruntée à un conte pour enfants de Paul Déroulède de 1884).
Le parcours du jeu suit l’évolution chronologique de l’Affaire, partie des fuites, du télégramme révélant l’implication de Dreyfus aux côtés des Allemands, devenue un objet d’intérêt central de la presse française avant de constituer une affaire judiciaire. La lecture que les auteurs font de l’Affaire est donc téléologique et républicaine, marquée par la foi dans la morale républicaine et dans la justice. Les acteurs évoqués, en grande partie empruntés aux personnages secondaires de l’Affaire, confirment sa complexité sociale et médiatique et illustrent les principaux rebondissements sur lesquels elle a reposé. Outre Esterhazy, véritable auteur du bordereau attribué à Dreyfus (n°40 et n°53), on retrouve ainsi Eugénie de Boulancy, son ancienne maîtresse (n°8), qui a fait parvenir des écrits incriminant Dreyfus au député radical Auguste Scheurer-Kestner, d’abord hostile à Dreyfus avant de se raviser (n°4). La "Dame voilée" (case n°58), personnage non identifié mais amplement commenté par les contemporains, aurait remis à Esterhazy un document accablant pour Dreyfus, et l’avocat Louis Leblois (n°11) fait partie des juristes qui se sont impliqués pour la révision du premier procès fait à Dreyfus. Si l’affaire judiciaire est désormais terminée, elle demeure lourde de répercussions sur la société française: à ce titre, les noms des acteurs font l’objet de déformations supposées préserver leur anonymat, mais la forte médiatisation dont les événements ont fait l’objet les rendent facilement identifiables par le lecteur.
Les lieux présentés dans le plateau de jeu sont également empruntés à l’événementiel de l’Affaire Dreyfus. Les Invalides ont été le théâtre de la dégradation de Dreyfus le 5 janvier 1895 (n°6).
L’appartement de la rue de Douai (n°56) est celui loué par Esterhazy au nom d’Eugénie de Boulancy. La prison du Cherche-Midi a été le premier lieu de détention de Dreyfus avant son extradition au bagne de l’île du Diable en 1895 (n°10) et le Mont-Valérien est le lieu du suicide du lieutenant-colonel Henry le 31 août 1898 (n°31), figure centrale de l’antidreyfusisme et auteur d’un faux contre Dreyfus. Tous ces lieux sont bien connus du grand public pour avoir été fortement relayés dans la presse de l’époque et pour être associés aux principaux développements de l’Affaire. La référence à Henry est particulièrement d’actualité dans le contexte de 1899, alors que sa mémoire est l’objet d’une souscription lancée par sa veuve, au mois de janvier, afin de faire ériger un monument en son honneur: son succès quasi-immédiat est révélateur du poids maintenu de l’antidreyfusisme et, plus largement, de l’antisémitisme dans une grande partie de la société française de l’époque.
Mais le jeu de l’oie illustre surtout la portée symbolique et la signification politique de l’Affaire Dreyfus, qui a posé la question de la place de la justice dans la République et a suscité la création d’outils nouveaux destinés à garantir sa transparence et son objectivité. C’est le cas de la Ligue des Droits de l’homme, créée en 1898 par le député radical Ludovic Trarieux pour faciliter la défense du capitaine Dreyfus (n°25). La place et le rôle de la justice est mise en regard des outils nouveaux utilisés par la police dans le cadre des enquêtes, comme le système anthropométrique de Jacques Bertillon, utilisé dès les années 1880 et mobilisé sans succès lors du procès de Rennes, en 1899, pour faire valoir la culpabilité de Dreyfus (n°30). La place donnée à l’avocat de Dreyfus Edgar Demange, à l’avant-dernière case du jeu, en fait le garant de la vérité, présentée comme l’émanation de la justice. Par conséquent, dans un contexte de fortes tensions sociales et politiques entre partisans et adversaires de Dreyfus, les auteurs cherchent à montrer la force de la loi au service de la République, y compris lorsqu’elle entre en contradiction avec des intérêts institutionnels. La référence aux lois sur les dés lancés par l’état-major en fait un élément moteur du jeu, représentatif du fonctionnement de l’Affaire Dreyfus en général. Elle entre en contradiction avec les positions des antidreyfusards, accusés de vouloir enterrer la loi et les droits de l’homme au prétexte de défendre l’honneur de l’armée.
(in "Jeu de l'oie: Histoire et métamorphoses". Exposition virtuelle.)

Exhibitions
- "Jeu, Jouet et Politique", Ville de Poissy, Musée du Jouet, 1982.
- "Le Jeu de l’Oie au Musée du Jouet". (Catalogo a cura di Jeanne Damamme - Pascal Pontremoli, pag. 43). Musée du Jouet, Ville de Poissy, 23 mars - 1.er octobre 2000.
- "Jeu de l'oie: Histoire et métamorphoses". Exposition virtuelle. Festival des Sciences de la Société et des Arts organisé par l'Université d'Aix-Marseille du 9 Mai au 22 Juin 2019 (réalisée par Abdelmajid Arrif).


bibliografia: 1) ALLEMAGNE, Henry - René D’: "Le noble jeu de l’oie en France, de 1640 à 1950", Ed. Grund, Parigi 1950.
2) GIRARD, Alain R. - QUETEL, Claude: "L’histoire de France racontée par le jeu de l’oie", Ed. Balland-Massin Parigi 1982.
3) Catalogo Mostra: "Jeu, Jouet et Politique", Ville de Poissy, Musée du Jouet 1982.“
4) Catalogo Mostra: "Le Jeu de l’Oie au Musée du Jouet”, Ville de Poissy, Musée du Jouet (pag. 43), 2000.
5) SEVILLE, Adrian: "L'arte dei giochi da tavolo. Oltre un secolo di storia e divertimento dalla fine del Settecento all'inizio del Novecento." Edizioni White Star, 2019.
6) CHAPRON, Emmanuelle et Alii: "Jeu de l'oie: Histoire et métamorphoses". Exposition virtuelle. Festival des Sciences de la Société et des Arts organisé par l'Université d'Aix-Marseille du 9 Mai au 22 Juin 2019 (réalisée par Abdelmajid Arrif), 2021.


 
  "La troisième Republique" (Girard&Quetel)
 
  L'Affare Dreyfus (1894-1906)
 
 
   

Vai alla ricerca giochi         Vai all'elenco autori