Giochi dell'Oca e di percorso (by Luigi Ciompi & Adrian Seville)

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Jeu (Le) du Trappeur Bas-de-Cuir (The Last of the Mohicans)

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	primo autore:	James Fenimore Cooper
	secondo autore:	Saussine Editeur
	anno:	1880/90
	luogo:	Francia-Parigi
	periodo:	XIX secolo (4°/4)
	percorso:	Percorso di 28 caselle numerate
	materiale:	carta (paper) (papier)
	dimensioni:	453X570
	stampa:	Cromolitografia
	luogo acquisto:	Francia
	data acquisto:	20-05-1986
	dimensioni confezione:
	numero caselle:	28
	categoria:	Letteratura scritta e disegnata, Belle Arti
	tipo di gioco:	Gioco di percorso
	editore:	Saussine Editeur, Parigi
	stampatore:	Saussine Leon, Paris
	proprietario:	Collezione L. Ciompi - A. Seville
	autore delle foto:	L. Ciompi - A. Seville
	numero di catalogo:	604
	descrizione:	Gioco di 28 caselle numerate ispirato al ciclo di avventure di Bas-de-Cuir ideato dallo scrittore James Fenimore Cooper. REGOLE: non riportate sul tavoliere. CASELLE: mute. REFERENZA 1 Jeu de parcours à 28 case numérotées. De "Tueur de daims et Hurry-Harry" (case 1) à "Bas-de-Cuir et Cingachgook septuagénaires" (case 28), le jeu relate les aventures du Trappeur Bas-de-Cuir (Natty (Nathaniel) Bumppo, dit Œil-de-Faucon, ou Bas-de-Cuir, ou La Longue Carabine, blanc élevé chez les Indiens). Le cycle des Histoires de Bas-de-Cuir (Leatherstocking Tales), de l’écrivain américain James Fenimore Cooper, comprend cinq romans historiques, publiés de 1823 à 1841. À travers la vie du chasseur blanc Natty Bumppo, ils évoquent l’histoire des États-Unis de 1740 à 1804. L’ordre chronologique du récit ne correspond pas à l’ordre de parution des volumes. Le "Dernier des Mohicans" (The last of the Mohicans) est un roman historique américain, publié pour la première fois en janvier 1826. Deuxième des cinq ouvrages composant le cycle des Histoires de Bas-de-Cuir (Leatherstocking), il se situe entre "Le Tueur de daims" (The Deerslayer) et "Le Lac Ontario" (The Pathfinder). REFERENZA 2 SAUSSINE EDITORE. Grande produttore di giochi di percorso, di strategia, di indirizzo e tiro, di pazienza, di domande-risposte, di teatro delle ombre, Léon Saussine successe nel 1860 a Hugues-Marie Duru già editore e libraio a Parigi. Duru, d'altronde professore, realizzava dei giochi istruttivi sotto forma di tavole illustrate da almeno 20 anni. Saussine riprese il magazzino-appartemento di Duru in via Cloitre Saint-Jacques. Se non stampava lui stesso i giochi che faceva realizzare all'esterno da stampatori - litografi, fra cui i nomi di Jannin e Roche, li montava ed imballava sul posto nel magazzino e poi li faceva vendere da alcuni rappresentanti ai magazzini specializzati oppure ai bazar. Inventore, Saussine brevettò nel 1870 un gioco magnetico. I quattro successivi metteranno ugualmente in opera dei procedimenti tecnici ingegnosi. Ma Saussine era anche un fabbricante dinamico e curioso della produzione della concorrenza francese e tedesca. Per questo motivo gli archivi della casa Saussine contengono molti cataloghi di fabbricanti e mercanti stranieri dell'inizio del secolo. Presente all'esposizione Universale del 1878 come fabbricante di giochi istruttivi e di società in cartone, dopo il 1882-1883 giunse a diversificare la sua produzione e a modernizzare la sua bottega situata al 42 di via Saintonge nel Marais. Dopo la morte nel 1896, la vedova e a partire dal 1916 i due figli Maurice e Georges continuarono la gestione dell'attività familiare; nel 1916 questa porta il nome commerciale "Saussine Freres". Il cinema, gli sport, le nuove invenzioni dettero vita a dei giochi nei quali la pretesa di insegnare, fino ad allora predominante, tende a scomparire. Nel 1928 i due fratelli costituirono una Società a responsabilità limitata, "Maurice et Georges Saussine Freres". Gli affari andavano bene: importavano del materiale dalla Germania, esportavano in Belgio.... Nel 1944 la firma prese la denominazione "Societé Maurice et Robert Saussine". Un ultimo brevetto fu depositato nel 1955 da Robert Saussine, nipote del fondatore, per un gioco di tiro. Alla fine degli anni 50 la firma commercializzava ancora qualche gioco di percorso in scatola. L'esistenza della ditta è attestata dalla sua presenza nel 1964 sull'annuario generale del commercio: nel 1980 essa verrà radiata dal Registro del Commercio e delle Società. ("Le jeu de l'oie au musée du jouet", Ville de Poissy 2000)
	bibliografia:	1) Catalogo Mostra: “Le jeu de l’oie au musée du jouet”, Ville de Poissy 2000.
		James Fenimore Cooper
		Écrivain américain (Burlington, New Jersey, 1789 - Cooperstown, New York, 1851). Le XXe siècle a tendance à considérer Cooper comme un auteur de romans d’aventures pour la jeunesse. Celui-ci est pourtant l’inventeur du roman américain, le premier qui fait entrer l’Amérique dans le roman, avec ses paysages du Far West, avec ses Indiens et ses trappeurs, avec son histoire et sa mythologie. James Fenimore Cooper est né de bonne famille. Son père, juge et propriétaire, a fondé sur le lac Otsego la ville qui porte son nom, Cooperstown, décrite dans les Pionniers. Après des études à Yale, Cooper devient officier de marine pour trois ans. Par son mariage avec Susan de Lancey, il confirme qu’il appartient à la classe dirigeante. Gentleman-farmer, conservateur, il appartient à la bonne société des grands colons qui se sont soulevés contre le roi d’Angleterre parce qu’ils se savent promis au gouvernement des masses. Homme d’ordre, il s’intéresse d’abord à la Prairie pour des raisons politiques: il ne veut pas qu’on distribue les terres de l’Ouest aux petits colons qui les défrichent. Il préfère qu’on les rassemble en grands domaines, fondement d’une aristocratie foncière, garant de l’ordre social. Cette idéologie politique s’exprime dans ses romans. Par hasard, à la suite d’un pari, Cooper écrit en 1820 un roman à la manière sentimentale de Richardson, Precaution, moins roman américain que pastiche de roman anglais. Pris au jeu, en 1821, dans The Spy (l’Espion), il met en scène un épisode de la guerre d’Indépendance. Le roman américain est né. Très influencé par la vogue du roman Waverley, Cooper est un Walter Scott américain, qui a remplacé les Borders d’Écosse par le Far West. En 1823, il récidive pour prouver sa supériorité sur Scott: The Pilot, puis The Pioneers (les Pionniers), suivis en 1826 de The Last of the Mohicans (le Dernier des Mohicans). En 1827, il achève la Prairie à Paris, où il est reçu en triomphe. De 1826 à 1833, il vit en Europe, conscient de représenter son pays par ses articles et ses conférences. Quand il rentre en Amérique, en 1833, il dénonce la distribution des terres aux pionniers immigrants et l’évolution vers une démocratie industrielle qui sape les hiérarchies et les ressources naturelles. Ses attaques, ses procès contre la presse et les immigrants lui font une réputation de réactionnaire qui nuit à sa popularité. Cooper meurt en 1851, brouillé avec la démocratie américaine. Ses romans les plus célèbres forment le cycle de "Bas-de-Cuir" (Leatherstocking Tales) les Pionniers (1823), le Dernier des Mohicans (1826), la Prairie (1827) et deux œuvres plus tardives, The Pathfinder (l’Éclaireur, 1840) et The Deerslayer (le Tueur de daims, 1841). L’unité du cycle tient à la personne de Natty Bumppo, dit "Bas-de-Cuir". Les romans ne se suivent pas dans l’ordre chronologique, mais retracent la vie de ce trappeur de 1740 à 1806 et commentent les trois bouleversements majeurs: la guerre d’Indépendance, le recul des Indiens, la destruction de la Prairie.

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