Giochi dell'Oca e di percorso (by Luigi Ciompi & Adrian Seville)

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Jeu (Le) de l'Oie Martiale

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	primo autore:	Alidor
	secondo autore:	Alidor
	anno:	1961
	luogo:	Francia-Parigi
	periodo:	XX secolo (3°/4)
	percorso:	Percorso di 35 caselle numerate
	materiale:	carta (paper) (papier)
	dimensioni:	290X330
	stampa:	Stampa tipografica
	luogo acquisto:	Francia
	data acquisto:	15-08-2020
	dimensioni confezione:
	numero caselle:	35
	categoria:	Politica, satira, fatti di cronaca
	tipo di gioco:	Gioco di percorso
	editore:	Canard Enchainé
	stampatore:	Imprimerie 21 Rue de Berri
	proprietario:	Collezione L. Ciompi - A. Seville
	autore delle foto:	L. Ciompi - A. Seville
	numero di catalogo:	683
	descrizione:	Gioco di 35 caselle numerate, spirale, orario, centripeto, apparso sul settimanale "Le Canard enchainé" del 10/05/1961 e disegnato da Alidor (disegnatore di "Pan" a Bruxelles). REGOLE: a destra. CASELLE: con didascalia. REFERENZA 1 Le Canard enchaîné (L'anatra incatenata) è un settimanale satirico francese, che esce ogni mercoledì. Fondato il 10 settembre 1915 da Maurice Maréchal, Jeanne Maréchal, e Henri-Paul Deyvaux-Gassier, è uno dei più rispettati e antichi giornali francesi nonostante il suo tono, molto spesso umoristico e il largo impiego di storpiature e giochi di parole. Ha per sottotitolo "Giornale satirico che esce il mercoledì" e come slogan "La libertà di stampa si consuma solo quando non si usa" allusione al noto slogan delle batterie Wonder: "Una batteria Wonder si consuma solo quando non si usa", che riassume bene la linea editoriale del settimanale, cioè denunciare tutti gli scandali pubblici (politici economici, giudiziari, mediatici) in primo luogo della Francia ma anche degli altri paesi. La linea editoriale del settimanale è l'abbinamento di articoli di inchiesta con articoli satirici e vignette umoristiche. Sebbene non neghi una simpatia verso la sinistra, o meglio verso il pensiero libertario in genere, il Canard ha sempre tenuto negli anni a mantenere una linea editoriale lontana da tutti i partiti politici, non risparmiando critiche a nessun detentore del potere, e investigando sugli scandali che coinvolgono politici di qualunque schieramento. Fra gli scandali politici e finanziari più importanti rivelati dal Canard enchainé, che hanno portato il giornale a vendere un numero eccezionale di copie, si possono citare l'affaire Papon, il caso dei diamanti di Bokassa e lo scandalo che ha coinvolto François Fillon. Ancora oggi il giornale è privo di pubblicità e il suo prezzo attuale è di 1,20€. (Le Canard enchaîné) REFERENZA 2 Alidor Paul Jamin, également connu sous divers pseudonymes, parmi lesquels Alidor, Jam, Alfred Gérard, né le 11 août 1911 à Liège et mort le 19 février 1995 à Ixelles est un caricaturiste, dessinateur de presse et auteur de bande dessinée politique belge. Fils d'un droguiste et d'une professeur de dessin, il fait ses études en France et en Belgique. Boy-scout, dessinateur et rédacteur, il signe Jamin ou J. ou Jam. Il dessine sa première BD en 1930-1931: La Belgique à travers les âges dans le Boy-scout belge. Mais inspiré par Jean Sennep, c'est le dessin politique qui l'intéresse. En tant que dessinateur de BD, il fut notamment collaborateur de Hergé (dont il avait rencontré le frère à l'Institut Saint-Boniface Parnasse), au journal Le Petit Vingtième de mars 1930 à février 19362. À l'époque, il y signait ses dessins avec le pseudonymes "Jam" . Il signe en commun avec Hergé l'éditorial hebdomadaire sous le nom de plume commun de "Oncle Jo". En 1936, il quitta Le Petit Vingtième pour suivre Léon Degrelle. Il devint l'illustrateur et le caricaturiste de l'organe de presse du parti rexiste, Le Pays Réel. Lorsque survint la guerre, il alla travailler pour le journal Le Soir, alors sous contrôle de l'occupant allemand ainsi que pour le Deutsche-Brüsseler Zeitung, un organe de presse créé par les Allemands. Il participe entre 1935 et 1944 à de très nombreux journaux. Il signe notamment des articles sous le nom de "Alfred Gérard" dans Le soir jeunesse (1940-1941). Il publie à partir de 1945 sous le nom de "Alidor" dans divers hebdomadaires bruxellois. Il collabore ensuite à divers journaux belges, flamands et francais (sous des pseudonymes très divers). À la Libération, ses nombreux dessins politiques jugés anti-anglais, antisémites et anti-gouvernement de Londres lui valurent une condamnation à mort. Il fut condamné en raison de sa collaboration au Soir volé ainsi nommé pendant la guerre où il avait réalisé de très nombreuses caricatures antisémites, tout comme dans le Brüsseler Zeitung. Paul Jamin fut gracié après sept ans de détention, il fut libéré en 1952. À partir de ce moment, il travailla essentiellement pour l'hebdomadaire satirique Pan dont il devint l'inamovible caricaturiste, sous le pseudonyme "Alidor". Par ailleurs, sous le pseudonyme d'"Alfred Gérard", il fournit au journal Spirou, de 1959 à 1965 surtout, des nouvelles, mini-récits et illustrations en plus de quelques courtes histoires en BD mais aussi, en 1962, d'une longue BD à suivre dont le héros était Ernest Lecrac: Le vol du bourdon. En 1990, ne pouvant accepter la cession de Pan à Stéphane Jourdain, il créa avec Henri Vellut un autre journal satirique, Père Ubu, dont il devint le caricaturiste attitré. Paul Jamin est décédé le 19 février 1995 à Ixelles (Belgique).
	bibliografia:

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